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festival art danthé - Page 2

  • LES RENDEZ-VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE ECLETIQUE

    Beaucoup de rendez-vous culturels bien sûr avec le festival Artdanthé, mais aussi la réception des nouveaux naturalisés, une réunion publique sur un projet de construction dans le quartier (chaud) de la rue de Châtillon,  l’inauguration de la chapelle Larmeroux restaurée, une braderie à l’église Saint François, une conférence sur les mathématiques… et jusqu’à la fin de la semaine, Vanves sera mobilisé comme plusieurs villes des Hauts de seine par une  animation Commerciale orhestrée par la Chambre de Commerce et d’industrie des Hauts de Seine, les associations de commerçants et les managers du commerce : « J’aime mon commerce ». Cette animation commerciale utilisera pour la première fois toutes les possibilités offertes par les smartphones et Internet puisque 23,8 millio,s de français en sont équipés (46,6%). Les 610 commerces altoséquanais participant à cette opération vont ainsi faire la preuve de leur capacité à répondre aux nouvelles pratiques de leurs clients en leur offrant la possibilité d’allier usage de leurs outils numériquest et fréquentation de leurs commerces.

    Enfin, chaque vanvéens catholique a été invité, par le pére curé Vincent Hauttecoeur  à dire ensemble la neuvaine de priére (du 20 au 28 Février) proposé sur les stands des églises de Vanves, avec un message de l’Evêque du diocése des Hauts de Seine, pour le pape Benoit XVI dont la charge de souverain pontife prendra fin le 28 Février à 20H. « Nous voulons lui dire toute notre reconnaissance et lui assurer toute notre prière pour cette charge qu’il a bien voulu accepter le 19 Avril 2005. Chacun d’entre nous, avons vécu des moments importants de notre vie spirituelle lors de ses années de son pontificat. Nous sommes en action de grâce » écrit il dans Seel et Lumière. Mgr Daucourt a invité  à ce qu’une priére d’action de grâce et d’intercession ait sa place dans les liturgies dominicales du 24 Février 2013 dans toutes les églises altoséquanaises et a sugéré qu’un livre d’or soit à disposition au fond de chaque église ou chapelle « pour tous ceux qui le voudraient, puisse exprimer leir merci en rappelabnt une parile ou un message, une rencontre ou une initiative du pape Benoit XBI qui les a aidé à grandir dans la foi et la charité. Ce livre d’or de la mémoire reconnaisssance » pourrait être apporté ddevant l’autel lors des prochaines célébrations ».    

     

    Lundi 18 Février :

    A 19H à l’hôtel de ville : Réception des nouveaux naturalisés. Une cérémonie durant laquelle les élus de Vanves leur remettront leur certificat de naturalisation, après un parcours long et complet pour obtenir la nationalité française : « Aucune civilisation ne détient l’apanage des ténèbres ou de l’auguste éclat, aucun peuple n’a le monopole de la beauté, du progrès, de la science ou de l’intelligence. Chaque homme porte la forme entière d’une humaine condition »

    Mardi 19 février 2013,

    A 19H30 à Panopée (Festival Artdanthé) : « F »  un solo chorégraphié et interprêté par David Drouard qui est partit de son désir de rencontrer l’œuvre de Nijinskli. F pour faune, pour « l’après midi d’un faune »

    A 20H à l’Hôtel de Ville : Conférence d’Anne Siéty, psychopédagogue des mathématiques, auteur de « Mathématiques, ma chère terreur » et de « Qui a peur des mathématiques ? ».

    A 20H au Théâtre (Festival Artdanthé) : « Une douce imprudence », poéme chorégrahique de et interprêté par Eric Lamoureux et Thierry Thieû Niang en avant première. « Ce duo est le fruit d’une intuition et d’un désir confortés par nos échanges depuis un lien noué il y a 20 ans. Nous avons réuni les conditions de la rencontre dans un contexte pariculier, dans une atmosphére propice au regard,  l’écoute, au partage des sensations, dans un espace favorable pour se rendre disponible à ce qui pourrait advenir, comme dans une « douce imprudence »

    Mercredi 20 Février

    A 18h  l’Espace Jean Monnet : Vernissage de l'exposition « Les Matriorchkas »

    A 19H30 à Panopée (Festival Art Danthé) : « L’envers du décor », création d’Anatoli Vlassov qui a conçu la chorégraphie et l’interprête. « Ce solo chorégraphique  pour un corps étendu est une exploration des cnfins du corps dansant, depuis l’intériorité organique jusqu’à l’extériorité de ses représentations »

    A 20H à Saint François : Conférence de l’AED (Aide à l’Eglise en détresse)

    Jeudi 21 Février :

    19h30 à l’école Lemel : Réunion publique sur le Projet immobilier du 19 rue de Châtillon

    A 19H30 au lycée Michelet ( Dans le cadre des conférences du Jeudi) : Conférence  de « l’autre côté du Rhin » sur « le Bauhaus » de Nelly Chochillon et Catherine Miel

    Vendredi 22 février

    A 14H à Saint François : Braderie de Printemps

    A 19H30 au Théâtre (Festival Artdanthé) : « Cuissses de grenouilles » de Carlotta Sagna. « A travers l’histoire de Joséphinen alias Cuisses de Grenouille, une petite fille rêve de devenir danseuse ». Théme à partir duquel Carlotta Sagna a signé une piéce sur le théâtre : le merveilleux de la représentation et les coulisses de la création

    A 20H à la Palestre : Loto de la Caissse de Solidarité

    A 21H à Panopée (Festival Artdanthé) : « Entre chien et loup » de Caroline Darchen

    Samedi 23 Février

    A 9H au Parc des Expositions : Ouverture du Salon de l’Agriculture qui célébre ses 50 ans avec un « grand dîner à la ferme » prévu le 1er Mars, et un timbre commémoratif avec une vache portant sur son dos veau, vache, cochon avec Paris en toile de fond qui sera imprimmé par la Poste. Un millier d’exposants originaires de 22 pays, et 3500 aimaux sont attendus. Il mettra à l’honneur les 7 espéces présentes au concours générale agricole (Asins, bovins, canins, caprins, équins, ovons et porcins). Deux fermes, une pédagogique, l’autre consacrée au végétal seront reconstituées grandeur nature. « Je souhaite imprimer l’agro-éclogie comme le choix stratégique de la France. Cette manifestation est un cncentré de la France toute entière, avec edes couleurs, des odeirs, des saveurs et les accents du territoire » indiquait Stéphane Le Foll, ministre de l’agriculture en présentant ce salon   

    A 10H à Saint François d’assise : Braderie de printemps

    A 11H30 à la Maison de retraites Larmeroux : Inauguration de la chapelle restaurée de  la maison de retraites Larmeroux (ex-maison des vieux travailleurs) conçues et construites toutes les deux avec la créche voisine, par l’architecte Paul Marme à la fin des années 30 dans le style Bauhaus et inaugurée le 14 Juillet 1939. Il a fallut trouver des mécénes et chercher des subventions à l’équipe municipale pour cete rsstauration dot le coût était dsuassif (700 000 €). Bouygues et Cogedim qui ont contribué à hauteur de 300 000 €, et la Réserve parlementaire (30 000 €). Les travaux ont duré partiquement un an entre les automnes 2011 et 2012 pour la restaurer  (ravalement des façades extérieures, murs intérieurs et petit balcon repeints en blanc et gris perle, remplacement des vitraux…)  et la rendre accessible aux personnnes à mobilité réduite grâce à des rampes, d’un accés supplémentaire. Elle devrait servir de lieu de culte pour les différentes maisons de retraites du quartier  et d’animations culturelles.

    A 19H à la Palestre : Soirée pour les 20 ans du kiwanisport qui organisera son prochain parcours Francilien le 1er Juin prochain

    A 20H au Gymnase Bec àMeudon la Forêt : Match de hand Vanves / Vitry-sur-Seine.

    Dimanche 24 Février

    A 11H : AG de l’UNC Vanves présidé par Paul Guillaud en présence des élus de Vanves.  

    A 15H à la Palestre : Cabaret pour les 10 ans de Lézard en Scéne

  • LES 30 ANS DU THEATRE LE VANVES : 17 – DE LA DANSE PURE AU SPECTACLE VIVANT

    Octobre 2012 a été un mois anniversaire pour le théâtre Le Vanves qui célèbre ses 30 ans. C’est pourquoi le Blog Vanves Au Quotidien donne plusieurs petits coups de projecteurs sur ce théâtre qui a donné une large place à la danse avec le festival Art Danthé qui évolue maintenant de la danse pure au spectacle vivant

     

    D’année en année, de festival  s’est structuré, a commencé à être repéré par quelques organismes institutionnels ou territoriaux comme l’ancêtre d’Arcadie (Ile de France Opéra Ballet) qui  l’a soutenu moralement, même si la DRAC a mis longtemps à reconnaître leur travail, à cause du trop grand nombre de scènes conventionnées, qu’elle voulait limiter. « C’est un soir lors d’une programmation, où un artiste a amené la déléguée danse de la DRAC, qui m’a coincé dans mon bureau pour dire : « on s’est rendu à l’évidence qu’il faut vous aider parce que le théâtre de Vanves fait un travail remarquable au niveau  de la danse. On va vous conventionner » raconte José Alfarroba. Ce qui a été le cas pour les 10 ans d’Art Danthé en 2007 sachant qu’à l’époque une vingtaine de théâtre étaient des scénes conventionnées pour la danse en France dont 7 en Ile de France.

     

    « Et on m’a même invité à faire partie de la commission «experts danse » pendant 3 ans, qui nous a ouvert beaucoup de portes. A partir de ce moment là,  le festival Artdanthé, même s’il avait déjà commencé à vraiment grandir, a décollé. Car ce label a été un coup de pouce  pour la poursuite d’un projet artistique fort mettant l’accent sur la diffusion de spectales de danse, le développement de la cullture chorégraphique des publics et l’accompagnement de la création, sans parler des moyens financiers supplémentaires (plus de 100 000 € sur 3 ans). Il a permis de pérénniser la subvention versée par le Conseil Général en faveur dArt Danthé  Du coup, les lieux partenaires qui nous considéraient comme l’enfant pauvre, nous ont regardé autrement, car là, vraiment, nous faisions parti de la famille » raconte t-il en reconnaissant que « ces histoires de chapelle, c’est vraiment franco-français »,

     

    Le théâtre  a reçu beaucoup d’artistes très réputés, très connus, comme Daniel Léveillé, Jérôme Bel, Brios Charmatz, José Nadj  dans les premiers temps,  s’est ouvert à l’étranger avec le Québec, les Pays Bas…grâce à ce festival  qui  est passé de la danse pure au spectacle vivant comme José Alfarroba l’expliquait lors de la présentation de la saison 2012-13. «  C’est venu tout seul ! Nous allons voir beaucoup de spectacles ensemble ailleurs, pour éduquer notre regard. Et nous avons beaucoup de discussions, lors de notre réunion hebdomadaire pour regarder et parler de ce que l’on a vu dans la semaine. Et nous nous sommes  aperçu que dans les spectacles de danse, cela danse certes, mais cela parle aussi, cela, chante etc…C’est la qualité et l’innovation qui nous ont intéressé » explique t-il en posant carrément la question : « C’est quoi la danse contemporaine ? ». D’ailleurs, il n’a jamais caché qu’il préférait « des spectacles novateurs à des spectacles bien rodés qui traduisent un travail de recherche et de questionnement. L’idée n’est pas de choquer, mais d’interpeller le spectateur, de le faire réfléchir, de le toucher »

     

    Du coup, il a fait le pari,  voilà 3 à 4 ans, sans que personne ne lui pose la question, de présenter de la danse,  avec un peu de musiqu , de théâtre…dans ce festival et même hors festival. « Les abonnés apprécient aussi. C’est une façon de l’ouvrir davantage encore. Quelqu’un qui prend un abonnement à 3 spectacles, verra de la danse, du théâtre.  Et Artdanthé va devenir un festival du spectacle vivant dans le futur. On n’aimerait pas qu’il vieillisse mal, car on se pose vraiment la question : Est-ce qu’il faut l’arrêter et passer à autre chose ? Comment le faire évoluer. Je n’aimerais que l’on dise « on l’a trop vu, ils n’ont plus rien à dire, ni à montrer ». Alors que  l’équipe a encore des choses à montrer ».

     

    Enfin, dés le départ, en paralléle à la programmation, il a poursuivi un travail de fond accordant une attention toute particulière à la sensiblisation du public jeunes – grâce aux dispositifs pédagogiques « Danse au Lycée » et « Danse côté cour »  - et moins jeunes grâce à des rencontres-débats, conférences dansées, ateliers de pratiquesl’école du spectateur,  participation et figuration dans des spectacles préparés toute l’année avec des artistes.  A SUIVRE

  • LES 30 ANS DU THEATRE LE VANVES : 16 – ART DANTHE GRACE A UN PLANCHER DE l’OPERA DE PARIS

    Octobre 2012 a été un mois anniversaire pour le théâtre Le Vanves qui célèbre ses 30 ans. C’est pourquoi le Blog Vanves Au Quotidien donne plusieurs petits coups de projecteurs sur ce théâtre qui a donné une large place à la danse avec le festival Art Danthé grâce à un plancher de l’Opéra de Paris

     

    « Cela a été très difficileau début ! » comme l’a reconnu Dominique Viard, ex maire de la culture (2001-08), lors de la présentation de la saison 2012-13. « Mais cela avait commencé sous l’ancienne équipe municipale, dés 1998 (Novembre 98 – Février 99). C’était encore un petit festival, avec l’association « Ca » d’Hervé Dias, la compagnie « Eclats d’Arts. Nous nous sommes fait remarqué et nous sommes imposé car je me suis dit que la seule façon que l’on parle de nous, alors que notre théâtre a très peu de moyens, était d’inviter beaucoup d’artistes, de jeunes compagnies, avec un foisonnement du tango à la danse classique, néo classique. Et ses jeunes artistes ont été nos meilleurs ambassadeurs, dés la première année : « Ils commencent un festival de danse ! Et ils ont 12 compagnies » entendait on parmi les commentaires » raconte José Alfarroba, un passionné de danse, de théâtre, fan de  Pina Baush sur laquelle il a sollicitée une trentaine d’artistes  en vue d’une création  originale pour l’ouverture de la 12éme édition d’art danthé, et grand spectateur de danse contemporaine.

     

    « C’est le théâtre de la ville avec sa programmation extraordinaire de Pina Baush qui m’a donné envie de faire de la danse, et parce que c’est le parent pauvre de tous les théâtre en France, avec un ou deux spectacles par an « parce que les gens ne comprennent pas », ce qui est faux ! Notre rôle est d’ouvrir à la danse qui n’est pas aussi difficile que cela, car ce sont aussi des émotions. Lorsqu’on ne comprend pas, il faut se laisser guider » raconte t-il en se souvenant de cette rencontre avec une jeune compagnie extraordinaire qu’il ne pouvait pas programmer  dans le cadre d’une programmation normale. « Par contre, en  créant un  festival, nous pouvions nous permettre de prendre des risques. On a beaucoup discuté avant de  lancer ce festival de danse. On a beaucoup cherché. Et on a trouvé Art danse puis Art Danthé. On a essayé d’avoir un ou deux artistes plus connus pour porter le festival et avoir une accroche ». 

     

    Mais ce n’était pas le seul écueil, car le théâtre ne disposait pas de plancher de danse. Daniel Miguel  Maréchal lui avait  bien expliqué que ce théâtre était au départ une salle des fêtes municipale, avec une scéne en béton. Or pour danser, il faut un plancher souple. « On m’a dit alors d’acheter des tapis de danse, très épais. J’ai demandé conseil à Jérôme Franc qui travaillait à Ile de Danse (agence culturelle de la Région) et venait de récupérer le plancher de danse de la salle de répétition de l’Opéra de Paris, qu’il voulait jeter. Il était dans un entrepôt. Il nous le donnait, mais il  fallait trouver un véhicule. C’était impressionnant car Nouriev et tous les grands de l’histoire de la danse l’avaient foulé. Nous sommes  parti un matin de l’année 1998/99, chercher le plancher avec les services techniques de la ville qui l’ont installé ensuit . Et nous l’avons gardé jusqu’à il y a deux ans parce qu’il avait vieilli. C’est comme cela que nous avons pu faire de la danse et ce festival ».